P.S.: Pour ceux ne connaissant pas la différence entre sunnisme et chiisme, un tableau récapitulatif est disponible en fin d'article.
a) Le premier point à aborder est bien évidemment le régime alaouite1 de Bachar Al Assad.
Ce régime dictatorial héréditaire et autoritaire, ne laisse donc place aucunement à une quelconque forme dérivée de démocratie ou de libre pensée. Le régime écrase sa population grâce à une pression de la police et de l’armée de façon à ce que celle-ci ne s’oppose pas au pouvoir.
Le régime a certes permit de retrouver une certaine stabilité économique, mais il semblerait que cela soit uniquement au profit des hautes classes, des entreprises et des grandes villes2 .
Il tente de garder le pouvoir et le contrôle sur le Syrie qui est une tâche compliquée face aux assauts des différents groupes rebelles ainsi que de l’Etat islamique. Les représentants du pouvoir sont concentrés sur la partie ouest de la Syrie, dont ils contrôlent la majeure partie de la côté des frontières.
Pour cela, ils utilisent des moyens militaires : bombardements, combats armés, utilisation d’armes biochimiques. Pas seulement sur les rebelles ou contre l’Etat islamique mais également sur la population ce qui inquiète grandement des organisations internationales comme l’ONU.
Au niveau régional, ils comptent sur l’Irak, l’Iran ainsi que le Hezbollah Libanais3 . Ils reçoivent de ces derniers des troupes.
Ils sont bien sûr financés par une puissance extérieure, qui est la Russie. Leur fournissant un support logistique, de l’armement et des fonds propres importants. La Russie bombarde également de façon active les rebelles syriens ainsi que l’Etat islamique.
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1 Branche du chiisme
2 Amenant donc une frustration populaire
3 Forces chiites
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b) Les rebelles syriens
En 2011, année du printemps Arabe, la Syrie sera touchée comme d’autres pays du Moyen-Orient par des mouvements protestataires réclamant un régime plus démocratique4 . Au début en Syrie, le mouvement restera pacifique, malgré des répressions sanglantes aux manifestations par le régime Baas5 .
De cela, vont naitre les rebelles syriens constitués de l’Armée syrienne libre (ASL)6 , du Front Al-Nosra7 et du groupe Ahrar al-sham8 .
Ces groupes bien qu’ayant à la fois des points communs et des différences, combattent principalement le même ennemi : le régime Baas.
Ils ne sont pas alliés de l’Etat islamique et combattent aussi ce dernier. Malgré le fait que certains groupes faisant partie des rebelles syriens sont plus radicaux/djihadistes.
Les rebelles sont aidés sur le plan régional par : la Turquie, la Jordanie, l’Arabie Saoudite, le Qatar9 . Majoritairement du soutien financier et des armes.
Au niveau international ils peuvent compter sur l’aide de la coalition internationale qui procède à des bombardements contre l’Etat islamique.
c) Les kurdes syriens
Ils font partie d’un groupe plus gros, soit les Kurdes, qui seront détaillés plus loin.
Ces derniers n’affrontent ni le régime syrien actuel ni les rebelles syriens. Leur seul réel ennemi est l’Etat islamique.
Ils ont profité de la guerre pour prendre un contrôle étendu sur la région du nord de la Syrie.
Ils sont soutenus par les forces Kurdes turques10 et par les forces kurdes irakiennes11 .
Pour ce qui est de l’international ils peuvent compter tout comme les rebelles syriens sur l’aide de la coalition internationale.
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4 Mouvement de protestations au Moyen-Orient contre les régimes dictatoriaux ayant une main mise sur le pouvoir depuis de nombreuses années
5 Régime syrien
6 Aile modérée des rebelles
7 Branche Syrienne d’Al Qaida
8 Groupe Islamiste
9 Forces sunnites.
10 PKK
11 PDK
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d) L’Etat Islamique
Cette organisation également appelée Daech , a été fondée en Irak entre 2006 et 2007. Elle intervient en 2011 après l’instabilité que le pays a connue, en enrôlant des combattants et en accroissant son influence.
Ce groupe a pour but d’étendre son territoire sur l’ensemble de la Syrie et se bat donc contre le régime syrien ainsi que contre les rebelles syriens.
Mais pas seulement, l’Etat islamique grâce à sa position en Syrie, recrute des combattants et contrôle des régions lui permettant de générer des capitaux finançant ses combats .
Le groupe n’a connu qu’une aide temporaire de l’Arabie saoudite au début de son développement car ce pays à majorité sunnite le voyait comme un moyen de faire perdre au mouvement chiite de l’influence mais se rendant compte de son erreur a rapidement fait marche arrière.
Aujourd’hui l’Etat islamique ne semble plus recevoir d’aide d’une quelconque force extérieure que ce soit localement ou internationalement.
Le groupe vit de combattants étrangers et a comme moyens financiers ses pillages, ainsi que les exploitations récupérées.
a) La Turquie
Le pays est un lieu de passage important. Il accueille la majorité des réfugiés mais les combattants étrangers souhaitant rejoindre l’état islamique en Syrie passent aussi par là. Cela profitant aux produits de contrebande locale.
En plus de vouloir détruire l’état islamiste et voir le régime Baas tomber elle lutte également farouchement contre les Kurdes.
Elle aide activement les Kurdes et est soutenue logistiquement par la coalition dont elle fait partie.
b) Les forces chiites régionales
Elles soutiennent le régime Baas lui-même faisant partie d’une branche du chiisme. Leur but étant bien sûr de garder une influence suffisamment importante par rapport aux sunnites au Moyen-Orient.
De plus, si jamais la Syrie devenait chiite, le Qatar pourrait se voir offrir la possibilité de faire transiter son gaz par la Syrie en contournant le détroit d’Ormuz mettant en danger la place de géant du gaz de l’Iran d’un point de vue régional.
Ils utilisent des ressources financières et militaires afin de remplir leur objectif. Avec notamment en 2013 le déploiement d’environ 3500 soldats par le Hezbollah libanais en soutient aux troupes syriennes.
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Sunnite
Exploitations de cotons et de pétrole.
Djihadistes
Iran, Irak, Hezbollah Libanais
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c) Les forces sunnites régionales
Contrairement aux puissances chiites qui voient le conflit d’un œil plus économique, elles ont rendu celui-ci presque religieux. Elles sont alliées des rebelles et ennemies du régime.
Elles ont laissé l’Etat islamique ce développé à ses débuts uniquement dans leur intérêt (la fin du régime), celui-ci étant devenu trop dangereux elles prétendent aujourd’hui le combattre.
Comme on peut s’en douter, si l’Iran tente de garder sa place, le Qatar lui tente de gagner la sienne. Puisque actuellement c’est un accord sur un pipeline entre l’Iran et la Syrie qui est privilégié par le régime Syrien.
Ces forces sont soutenues par les membres de la coalition internationale qui souhaite un changement de régime politique en Syrie. De plus, le gaz qatari nous permettrait d’être moins dépendants de celui provenant de Russie.
d) Forces kurdes régionales
Elles tentent de favoriser l’expansion des forces kurdes syriennes afin de gagner du territoire qui pourrait éventuellement faire partie du futur « Kurdistan » indépendant des pays que ces forces constituent actuellement.
a) La Russie
Alliée du régime syrien. Elle attaque officiellement l’Etat islamique, mais malheureusement, les pilotes semblent tous atteints de problèmes visuels puisque ce sont des bases rebelles syriennes qui sont les plus touchées.
La Syrie étant son seul allié sur un territoire principalement contrôlé par les américains cela en fait une position stratégique très importante. La montée d’un partit sunnite pourrait déstabiliser sa position en Moyen-Orient. De plus cela mettrait en danger : ses contrats en matière d’approvisionnement d’armes, l’accès privilégié au port syrien, et sa base navale Tartous.
Elle intervient financièrement et militairement dans le conflit. Elle est elle-même soutenue par la Chine qui n’apprécie pas les interventions occidentales dans la région.
b) La coalition internationale
Celle-ci souhaite la fin du régime Syrien en plus de combattre l’état islamique. Ce sont les Etats-Unis qui sont les initiateurs de celle-ci.
Mais les enjeux sont bien plus que le simple fait de mettre fin au régime syrien, elle veut également récupérer son influence et ramener une certaine « paix » dans la zone en plus de diminuer son indépendance par rapport au gaz russe grâce au gaz qatari.
Elle est donc l’alliée des forces sunnites régionales et des Kurdes dans leur lutte contre l’Etat islamique.
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Turquie, Jordanie, Arabie saoudite, Qatar, Emirats arabes unis
Livraison d’armes et bombardements
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Le conflit qui pourrait être « simple » comme dans les autres pays , s’est énormément compliqué par un nombre d’acteurs à différentes échelles important et avec des enjeux dépassant un simple soucis de démocratie. La résolution de celui-ci se fera surement sur la durée et dans une continuation de bains de sang.
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Voilà, j'espère que la lecture vous aura plut et qu'elle vous aura appris quelques petites choses voir beaucoup!
A bientôt.
1. Les acteurs régionaux
a) Le premier point à aborder est bien évidemment le régime alaouite1 de Bachar Al Assad.
Ce régime dictatorial héréditaire et autoritaire, ne laisse donc place aucunement à une quelconque forme dérivée de démocratie ou de libre pensée. Le régime écrase sa population grâce à une pression de la police et de l’armée de façon à ce que celle-ci ne s’oppose pas au pouvoir.
Le régime a certes permit de retrouver une certaine stabilité économique, mais il semblerait que cela soit uniquement au profit des hautes classes, des entreprises et des grandes villes2 .
Il tente de garder le pouvoir et le contrôle sur le Syrie qui est une tâche compliquée face aux assauts des différents groupes rebelles ainsi que de l’Etat islamique. Les représentants du pouvoir sont concentrés sur la partie ouest de la Syrie, dont ils contrôlent la majeure partie de la côté des frontières.
Pour cela, ils utilisent des moyens militaires : bombardements, combats armés, utilisation d’armes biochimiques. Pas seulement sur les rebelles ou contre l’Etat islamique mais également sur la population ce qui inquiète grandement des organisations internationales comme l’ONU.
Au niveau régional, ils comptent sur l’Irak, l’Iran ainsi que le Hezbollah Libanais3 . Ils reçoivent de ces derniers des troupes.
Ils sont bien sûr financés par une puissance extérieure, qui est la Russie. Leur fournissant un support logistique, de l’armement et des fonds propres importants. La Russie bombarde également de façon active les rebelles syriens ainsi que l’Etat islamique.
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1 Branche du chiisme
2 Amenant donc une frustration populaire
3 Forces chiites
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b) Les rebelles syriens
En 2011, année du printemps Arabe, la Syrie sera touchée comme d’autres pays du Moyen-Orient par des mouvements protestataires réclamant un régime plus démocratique4 . Au début en Syrie, le mouvement restera pacifique, malgré des répressions sanglantes aux manifestations par le régime Baas5 .
De cela, vont naitre les rebelles syriens constitués de l’Armée syrienne libre (ASL)6 , du Front Al-Nosra7 et du groupe Ahrar al-sham8 .
Ces groupes bien qu’ayant à la fois des points communs et des différences, combattent principalement le même ennemi : le régime Baas.
Ils ne sont pas alliés de l’Etat islamique et combattent aussi ce dernier. Malgré le fait que certains groupes faisant partie des rebelles syriens sont plus radicaux/djihadistes.
Les rebelles sont aidés sur le plan régional par : la Turquie, la Jordanie, l’Arabie Saoudite, le Qatar9 . Majoritairement du soutien financier et des armes.
Au niveau international ils peuvent compter sur l’aide de la coalition internationale qui procède à des bombardements contre l’Etat islamique.
c) Les kurdes syriens
Ils font partie d’un groupe plus gros, soit les Kurdes, qui seront détaillés plus loin.
Ces derniers n’affrontent ni le régime syrien actuel ni les rebelles syriens. Leur seul réel ennemi est l’Etat islamique.
Ils ont profité de la guerre pour prendre un contrôle étendu sur la région du nord de la Syrie.
Ils sont soutenus par les forces Kurdes turques10 et par les forces kurdes irakiennes11 .
Pour ce qui est de l’international ils peuvent compter tout comme les rebelles syriens sur l’aide de la coalition internationale.
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4 Mouvement de protestations au Moyen-Orient contre les régimes dictatoriaux ayant une main mise sur le pouvoir depuis de nombreuses années
5 Régime syrien
6 Aile modérée des rebelles
7 Branche Syrienne d’Al Qaida
8 Groupe Islamiste
9 Forces sunnites.
10 PKK
11 PDK
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d) L’Etat Islamique
Cette organisation également appelée Daech , a été fondée en Irak entre 2006 et 2007. Elle intervient en 2011 après l’instabilité que le pays a connue, en enrôlant des combattants et en accroissant son influence.
Ce groupe a pour but d’étendre son territoire sur l’ensemble de la Syrie et se bat donc contre le régime syrien ainsi que contre les rebelles syriens.
Mais pas seulement, l’Etat islamique grâce à sa position en Syrie, recrute des combattants et contrôle des régions lui permettant de générer des capitaux finançant ses combats .
Le groupe n’a connu qu’une aide temporaire de l’Arabie saoudite au début de son développement car ce pays à majorité sunnite le voyait comme un moyen de faire perdre au mouvement chiite de l’influence mais se rendant compte de son erreur a rapidement fait marche arrière.
Aujourd’hui l’Etat islamique ne semble plus recevoir d’aide d’une quelconque force extérieure que ce soit localement ou internationalement.
Le groupe vit de combattants étrangers et a comme moyens financiers ses pillages, ainsi que les exploitations récupérées.
2. Les acteurs régionaux
a) La Turquie
Le pays est un lieu de passage important. Il accueille la majorité des réfugiés mais les combattants étrangers souhaitant rejoindre l’état islamique en Syrie passent aussi par là. Cela profitant aux produits de contrebande locale.
En plus de vouloir détruire l’état islamiste et voir le régime Baas tomber elle lutte également farouchement contre les Kurdes.
Elle aide activement les Kurdes et est soutenue logistiquement par la coalition dont elle fait partie.
b) Les forces chiites régionales
Elles soutiennent le régime Baas lui-même faisant partie d’une branche du chiisme. Leur but étant bien sûr de garder une influence suffisamment importante par rapport aux sunnites au Moyen-Orient.
De plus, si jamais la Syrie devenait chiite, le Qatar pourrait se voir offrir la possibilité de faire transiter son gaz par la Syrie en contournant le détroit d’Ormuz mettant en danger la place de géant du gaz de l’Iran d’un point de vue régional.
Ils utilisent des ressources financières et militaires afin de remplir leur objectif. Avec notamment en 2013 le déploiement d’environ 3500 soldats par le Hezbollah libanais en soutient aux troupes syriennes.
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Sunnite
Exploitations de cotons et de pétrole.
Djihadistes
Iran, Irak, Hezbollah Libanais
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c) Les forces sunnites régionales
Contrairement aux puissances chiites qui voient le conflit d’un œil plus économique, elles ont rendu celui-ci presque religieux. Elles sont alliées des rebelles et ennemies du régime.
Elles ont laissé l’Etat islamique ce développé à ses débuts uniquement dans leur intérêt (la fin du régime), celui-ci étant devenu trop dangereux elles prétendent aujourd’hui le combattre.
Comme on peut s’en douter, si l’Iran tente de garder sa place, le Qatar lui tente de gagner la sienne. Puisque actuellement c’est un accord sur un pipeline entre l’Iran et la Syrie qui est privilégié par le régime Syrien.
Ces forces sont soutenues par les membres de la coalition internationale qui souhaite un changement de régime politique en Syrie. De plus, le gaz qatari nous permettrait d’être moins dépendants de celui provenant de Russie.
d) Forces kurdes régionales
Elles tentent de favoriser l’expansion des forces kurdes syriennes afin de gagner du territoire qui pourrait éventuellement faire partie du futur « Kurdistan » indépendant des pays que ces forces constituent actuellement.
3. Acteurs internationaux
a) La Russie
Alliée du régime syrien. Elle attaque officiellement l’Etat islamique, mais malheureusement, les pilotes semblent tous atteints de problèmes visuels puisque ce sont des bases rebelles syriennes qui sont les plus touchées.
La Syrie étant son seul allié sur un territoire principalement contrôlé par les américains cela en fait une position stratégique très importante. La montée d’un partit sunnite pourrait déstabiliser sa position en Moyen-Orient. De plus cela mettrait en danger : ses contrats en matière d’approvisionnement d’armes, l’accès privilégié au port syrien, et sa base navale Tartous.
Elle intervient financièrement et militairement dans le conflit. Elle est elle-même soutenue par la Chine qui n’apprécie pas les interventions occidentales dans la région.
b) La coalition internationale
Celle-ci souhaite la fin du régime Syrien en plus de combattre l’état islamique. Ce sont les Etats-Unis qui sont les initiateurs de celle-ci.
Mais les enjeux sont bien plus que le simple fait de mettre fin au régime syrien, elle veut également récupérer son influence et ramener une certaine « paix » dans la zone en plus de diminuer son indépendance par rapport au gaz russe grâce au gaz qatari.
Elle est donc l’alliée des forces sunnites régionales et des Kurdes dans leur lutte contre l’Etat islamique.
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Turquie, Jordanie, Arabie saoudite, Qatar, Emirats arabes unis
Livraison d’armes et bombardements
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Conclusion
Le conflit qui pourrait être « simple » comme dans les autres pays , s’est énormément compliqué par un nombre d’acteurs à différentes échelles important et avec des enjeux dépassant un simple soucis de démocratie. La résolution de celui-ci se fera surement sur la durée et dans une continuation de bains de sang.
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Voilà, j'espère que la lecture vous aura plut et qu'elle vous aura appris quelques petites choses voir beaucoup!
A bientôt.
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