Yo salut à tous! dernièrement j'écris un p'tit truc et je me suis fixé comme objectif d'écrire une histoire complète (on verra si ça attend la taille du roman je garantie pas
) et j'aurai besoin de quelques avis (constructif si possible) sur ce que j'ai écris, et pourquoi pas des conseils.
J'aurai aussi besoin de quelqu'un pouvant me corriger les différentes incohérences de temps c'est pas vraiment mon fort ça, mais alors pas du tout!
Merci de votre lecture ;)
PS : Plusieurs modifications pourront apparaître avec le temps! Le texte n'est pas entièrement fini mais l'essentiel est là!

J'aurai aussi besoin de quelqu'un pouvant me corriger les différentes incohérences de temps c'est pas vraiment mon fort ça, mais alors pas du tout!
La nuit était sombre, la neige capturait tout les sons, le silence régnait. Les sapins dominaient la plaine, de telle façon, qu’ils donnaient l’impression de gouverner le monde. Tout était calme, trop calme. Les écureuils montaient au plus haut sommet des arbres, les lièvres fuyaient la forêt, les corbeaux eux-mêmes décidèrent de partir. Toute forme de vie délaissait la forêt.
Un groupe d’homme arriva, tous vêtu d’armure robuste avec un hameau de bronze de piètre qualité, qui laissa à peine voir leurs visages. Leurs plastrons semblaient être usagés, troués, cabossés et sales, il s’agissait sûrement d'un groupe de soldat. Il n’était pas plus d’une dizaine, leurs leader semblait désorienté, aucune âme ne le guidait, son expression était terne et froide, comme si le destin s’acharner contre lui.
Tout semblait si vide, morose, que même le printemps avait décidé de fuir la région. La brise glaciale parcourait le bois, comme une vague qui s’écrase à chaque seconde contre la falaise, sublime, mais mortelle. La lune s'éclairait d'une lueur pâle, elle semblait perdre son intensité au fil de la nuit.
Une brume épaisse se leva, elle aspira les couleurs de la forêt, les soldats n’y virent plus rien, quand tout à coup, leurs chef prit la parole :
« Il va falloir établir le campement, et commencer les préparatifs, nous sommes presque prêt ». Il sorti de sa cuirasse, un joyau, qui illumina les ténèbres. Il redonna espoir aux soldats, qui le regardèrent, sans un mouvement. Ils étaient tous mus à la vision de ce spectacle, il leur procurait un sentiment de bien-être, de sécurité. La pierre luisait d’un rouge éclatant, l'effet était spectaculaire. La lumière transcendait l’obscurité de la nuit, sans que la brume ou la neige puisse l’intercepter. La lumière qu'elle générait était chaude, pleine de vie, elle rappelait un peu la chaleur et la clarté que peut apporter un feu de cheminée.
Le groupe d’homme se mît au travaille, un groupe parti chasser, les autres dressèrent les tentes. Ils étaient tous faibles, et las, tout sembler leurs manquer, ils n’avaient rien manger depuis des jours. Leurs corps devenu trop maigre pour supporter le terrible poids de leurs armures, n'arrangeait rien. Le chef, lui s’écarta du groupe, il prit son épée, et son joyau puis alla se perdre dans les confins de la forêt. Il savait que c’était la dernière fois qu’il reverrait ses hommes, tous de brave gars, mais qui ne passeraient pas la nuit.
Il avait entendu de nombreuse histoire à propos de cette pierre, mais elle n’avait jamais le même nom, on l’appelait sang de Dieu pour les religieux, pierre philosophale pour les scientifiques, ou le rubis de la rédemption, dans les diverses populations… De nombreux théologiens avaient même déifiés cette dernière, elle avait le pouvoir de soigner n’importe quelle maladie selon les dires de certains, pour d’autres, elle ne provoquerait que le malheur de son propriétaire. Mais rare étaient les personnes qui l'avaient vue de leurs propre yeux, pour la plupart, elle n’était que fantaisie, une histoire que l’on contait aux enfants. . Il avait obtenu la pierre précieuse de son frère, qui avant de décédé lui l’avait transmise. Il lui expliqua où il l’eut trouvé, et à quoi elle servait réellement. Pour Rick, il n'y avait aucun doute, il devait faire quelque chose : il était le seul capable de résoudre ce problème, le monde s'écroulait peu à peu. Il savait qu’en entreprenant son voyage, à son terme, il devait mourir. Mais il pensait d’abord à ses deux fils, qui n’auraient pas survécu si rien n’était fait, eux qui n’avaient encore rien découvert de ce monde, il ne pouvait se le permettre. Ils n'avaient absolument rien d'exceptionnel, mais comment peut-on reprocher à un homme de se sacrifier pour les siens
Il marcha longtemps, à travers le chemin sinueux qui se tracer à travers l’épaisse brume. Rick avait froid, ses pieds étaient gelés, mais rien ne semblait arrêter sa détermination, il était aussi décidé que jamais.
De temps à autre, il crut apercevoir une silhouette, la folie commença à s’emparer peu à peu de lui. L’angoisse fut sa nouvelle nature, effaçant à jamais tout ce qu’il a put être, mais sa volonté demeura, il devait accomplir sa dernière quête, afin de préserver la beauté de ce monde. Quand soudain, il aperçu enfin la montagne, il était enfin arrivé à sa destination.
Le sommet de la montagne semblé fendre le ciel, sa grandeur était démesurée. Magnifique mais effrayante à la fois, comment le libre cours de la nature aurait-il permis cette magnificence ? Elle avait quelque chose de divin, tellement impressionnante que son existence même semblait impossible. Rick s’en approcha, déposa sa pierre à terre. Elle se mit à briller de mille feu, et laissait s’échapper un bruit strident puis plus rien. Quand tout à coup le sol se mit à trembler, on pouvait voir un escalier digne des plus grands architectes se dessiner peu à peu sur la montagne. Le guerrier semblait ahurit face à ce spectacle, tout lui semblait impossible, irréel. Une fois que l’escalier ait fini de se former, la pierre précieuse lévita et commença à grimper le mont, Rick en fit de même, comme hypnotisé.
Il escalada les escaliers, qui lui paraissaient interminable. D’abord sur ses deux jambes, ensuite à quatre pattes. Il luttait sans relâche contre son pire ennemi, la fatigue qui commença à s’emparer de tous ses membres. Il n’avait plus d’énergie, il le savait, mais son environnement semblait lui transmettre l’énergie suffisante pour gravir chaque marche. Quelqu’un ou quelque chose devait le soutenir, sans cela il lui aurait été impossible de parcourir une telle distance. C’est sur cette pensée qu’il s’accrocha : on le soutenait.
Transpirant, haletant, l’oxygène commencé à se faire de plus en plus rare, mais il réussi enfin à atteindre le sommet. Une plateforme était présente, sa pierre se plaça d’elle-même au centre de celle-ci. Rick accompli sa mission, il bredouilla quelques mots, inaudible, comme si leurs simple prononciations avaient étés bannis de ce monde. La pierre s’éleva à une vitesse fulgurante, puis fini par s’éclater contre la couche d’ozone pour se disperser aux quatre coins du globe. Le temps se figea, de partout. Les rivières cessèrent de couler, les mouches de voler, les enfants de s’amuser et ricaner, tout, absolument tout était figé sauf la forêt, où une aurore boréale commença à apparaître. Rick observa le spectacle ébahit. Quand tout à coup, une forte douleur le prit à l’estomac. Sa fin arrivée. La vie de l’homme semblait être aspirée vers le ciel, la pierre l’appelait. Il entendait les battements de son cœur s’atténuer peu à peu, mais il garda le sourire, sa tâche accompli il pouvait quitter ce monde en paix.
Rick étant mort, ses hommes le suivirent par la suite, victime du même destin, l’aurore boréale commença à devenir entièrement violette et se déposa lentement sur le sol. Le contact de la lumière avec le sol provoqua une onde de choc : Le temps avait repris son cours.
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PS : Plusieurs modifications pourront apparaître avec le temps! Le texte n'est pas entièrement fini mais l'essentiel est là!
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